Depuis 2013
Poèmes extrait d’ Éternel Innommable Recueil poétique Parution fin 2021
.
.
Je n’ai que Quatre Lignes
.
Je n’ai que quatre lignes
Il ne m’en reste plus que deux
Mais que vais je pouvoir dire
Que ne disent pas les cieux
.
.
.
.
.
/////
/ ////
///////
// La poésie est partout, Ceux qui ne la voient pas aussi
///
/
.
.
.
.
.
Etoile de Terre
.
Filer tel une étoile de terre sous la lumière de ce qui ne se nomme pas
Ouvrir l’inaltérable grain par grain
Avec simplicité
Frôler indéniablement avant de toucher le soi
Constance insatiable d’être et de ne pas
Invraisemblable
S’élever à l’infini sans attache ni loi
Orchestration céleste
Encore Encore Encore
Virevolter le temps l’amour en chaque pas
.
.
.
‘
‘ ‘
‘  »
‘ ‘ ‘  » »’
‘  »  » ‘ Dans
 » »  » »  »  » ‘ ‘  » ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘
‘ ‘ ‘ ‘  » Équilibre
 »’ ‘ ‘  »’ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘  » ‘
 »’  » ‘ ‘  »’ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘  »’ ‘ ‘ ‘
il y a ‘ ‘  »’ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘
 »’  »’  » »’  »  » ‘ ‘ ‘ ‘  »’ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘
 » ‘ ‘ ‘  » »’ ‘
‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘  » »’  » ‘  » ‘ Libre
‘ ‘ ‘  » ‘  » ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘ ‘  » »  » ‘
 » ‘ ‘ ‘  »’ ‘
‘ ‘  »’
‘ ‘  » » ‘
‘ ‘
‘
.
.
.
.
Mental’eau
.
Mental vendal Mental à la baille Mental Mentir
Ment à balle Mental’eau au caniveau Remballe Ego
Mental que dalle Mentalité de racaille Monumentale Eh ! Go !!
Allez à poil Menteur mytho Pagaille ! Mentaux
.
.
.
.
.
L’ennui
.
J’ai tué l’ennui au bout de ma rue
J’l’ai tué d’un coup sans même qu’il m’est vu
Ah ! Il est parterre, il gise l’ennui
Pas de cimetière, juste une bonne nuit !
Cà f’sait un moment qui m’courait derrière
Qu’il m’enquiquinner
J’pouvais plus le laisser faire, il, trop, lui, m’énervé
Ah il fait moins le malin, Ah il m’ennuira plus,
Au moins pour maintenant au moins un bout du..
.
.
.
.
.
… ::::. :::……..
Bienvenue dan
s l‘présentÂ
.
.
.
.
.
.
.
ÔAEH
.
Ô couleurs vivaces miroitant l’intense
Ô quelques épaves intactes gisant sur les fonds
Ô quasi rien dans les filets de vivre
Ô petites politesses avec de gros calibres
A l’apothéose des strophes en panne
A l’irréel frôlant de près parfois le cul des ânes
A tata, tatie, tutu et autres danses
A fortiori à oui à oui inadvertance
Eh puis l’air de tout sentir en deçà d’ici
Eh frotte tes mains en l’air couci couçÃ
Eh les lueurs obscures révèlent
Eh la part de l’ombre demeure
.
.
.
.
.
Y’a comme
.
Y’a comme
une
Y’a une sensation
Y’a comme
Y’a comme une
Y’a comme une sensation
Y’a
‘a
Comme une sensation
Comme une
Y’a comme
.
Y’a comme une sensation d’éternité
.
.
.
.
.
A cœur ouvert
.
Se livrer avec fougue dans un tumulte de vide
Y trouver à l’écoute des surprises à l’envie
Lâcher quelques inspirations bien senties
Reprendre une dose de soi, territoire non aride
Tourner lentement les idées qui tombent telles des gouttes
Ramasser avec joie dans les flaques de la vie
Rincer sans cesse puis laisser reposer
Faire germer avec finesse, délicat pied de nez
Se livrer à une osmose où l’inconnu est au centre
Développer ses arômes plastiques, faire flamber ses cendres
Sourire à un geste, une réplique, devant soi si tendre
Gougnafier de l’art qui tombe à pic, délice de s’y rendre
Picorer çà et là des ondes régénérantes
Oser d’autres pistes, l’aventure est féconde
Sortir son soi, mettre en dehors
Une typographie du moi libérer de ses pores
Et dans le tournoiement impensable, inaltérable
Déposer le cœur léger, une praxis, une trame
Et avec la folie de ce à qui tout peux arriver
Envoyer vibrer son monde, transformer l’insensé
.
.
.
.
.
En diagonale
.
J’ai lu en diagonale toutes les esquives galvaudées par ceux qui par tout arrive
autant que rien se peux et vexé de ne pas être la Femme j’ai penché ma
part sur le berceau de mes vÅ“ux L’éloignemnt succin en impose,
c’est dans un rêve serein que mes frictions disposent Elipse
ventriloquente à même le sol pif paf marche le temps
désole Va il y avoir du dessert pour tous où l’Homme
misère pousse sans ses couches J’ai donc lu en dia
go na le le tout vendu le rien comme panne
Solaire lumière cadences les flammes de
ces antennes applause plus d’âmes
Lu J’ai Donc il n’y a plus de
diagonale pu s’estompe
ose s’emballe Donc
En j’ai lu la
diagonale
de mon
salut
.
.
.
 En deux deux
.
Sur la douceur des choses j’ai posé mon regard
J’y ai vu un monde en prose un fantastique abreuvoir
Et dans la coulée indéfini du temps je me suis laissé porter
Avec le loisir béat pour firmament et le corps-esprit émerveillé
.
.
.
Street Art /// Art Contemporain /// Installation In Situ /// Performance /// Collage /// Dessin /// Sculpture /// Photographie /// Poésie /// Exposition /// Résidence /// Carte Blanche /// Projet Participatif /// Scénographie /// Événementiel /// Workshop /// Médiation /// Aurélien Nadaud /// Plasticien /// aurelien.nadaud@gmail.com /// 06 52 95 58 69 /// Andernos-Les-Bains-Aquitaine-France /// ©Aurélien Nadaud-2021-Tout droits réservés-Mentions Légales